Logo LSI sombre

Immobilier à Poitiers (86000)

Les dernières annonces à Poitiers (86000)

Immobilier à Poitiers (86000) : un marché attractif, abordable et en pleine mutation

Entre dynamisme étudiant, cadre historique et nouvelle impulsion économique, Poitiers s’impose comme l’une des villes les plus équilibrées de l’ouest de la France.
En 2025, la capitale de la Vienne conjugue prix raisonnables, rendement locatif solide et qualité de vie.
Longtemps restée discrète sur le plan national, elle attire désormais de plus en plus d’investisseurs et de primo-accédants séduits par son rapport prix/surface imbattable.

Située entre Paris et Bordeaux, à seulement 1h15 de train de la capitale grâce au TGV Atlantique, Poitiers se positionne comme une ville d’équilibre : un marché immobilier encore abordable, mais déjà bien valorisé par la présence d’un pôle universitaire majeur et d’un bassin d’emploi en expansion.

À retenir – Marché immobilier à Poitiers en 2025

Prix moyen : 2 400 €/m² (appartements), 2 600 €/m² (maisons).

Évolution : +3,2 % sur un an, progression douce et régulière.

Quartiers phares : Centre historique, Saint-Éloi, Poitiers Sud, Futuroscope.

Rendement locatif : 5,5 à 6,5 % selon le type de bien.

Loyer moyen : 13 €/m², marché stable et soutenu par les étudiants.

Atouts : ville jeune, TGV, dynamisme économique, accessibilité.

En résumé : Poitiers reste un marché immobilier sûr, rentable et accessible, idéal pour investir dans l’Ouest en 2025.


Un marché stable et accessible

Le marché immobilier poitevin affiche en 2025 un prix moyen de 2 400 €/m² pour un appartement et 2 600 €/m² pour une maison.
Une stabilité remarquable dans un contexte national contrasté.
Cette modération attire les acquéreurs en quête d’une première résidence principale et les investisseurs recherchant une rentabilité supérieure à celle des grandes métropoles.

En cinq ans, les prix ont progressé de près de 15 %, une hausse régulière, sans excès spéculatif.
Les quartiers les plus demandés sont le centre historique, Montbernage, Poitiers Sud, Bellejouane et Saint-Éloi, chacun avec sa personnalité et sa clientèle.
Les logements anciens rénovés se vendent très bien, notamment les petites surfaces, très recherchées par les étudiants et jeunes actifs.

Le volume de transactions reste élevé, porté par une demande locale dynamique et un flux constant de nouveaux habitants.
Poitiers fait partie des rares villes où l’offre reste suffisante pour contenir la tension sur les prix, même si certains biens bien situés partent en moins de quinze jours.


Une ville jeune et universitaire

Poitiers abrite l’une des plus anciennes universités d’Europe et compte aujourd’hui près de 29 000 étudiants, soit plus d’un quart de sa population.
Ce poids du secteur universitaire joue un rôle majeur dans la vitalité du marché locatif.
Chaque rentrée, des milliers d’étudiants cherchent un logement, ce qui soutient les loyers et réduit le taux de vacance.

Les investisseurs privilégient les studios et T2, principalement dans le centre-ville, aux abords du campus ou à proximité du Futuroscope.
La rentabilité brute moyenne oscille entre 5,5 et 6,5 %, avec un taux de vacance inférieur à 4 %.

Les loyers, eux, restent accessibles : 12 à 14 €/m², selon la localisation et le standing du logement.
Un studio rénové intra-muros se loue facilement entre 450 et 550 euros, tandis qu’un T3 familial dans les quartiers sud atteint 750 euros en moyenne.


Les quartiers à connaître à Poitiers

Poitiers est une ville à taille humaine, où chaque quartier a sa propre dynamique.

Centre-ville et Montbernage

C’est le cœur historique, animé et recherché. Les immeubles anciens avec poutres et vieilles pierres séduisent les amateurs d’authenticité.
Les prix varient entre 2 500 et 3 200 €/m² selon l’état du bien.
La demande est portée par les étudiants, les jeunes actifs et les professions libérales. Le rendement locatif y est solide, autour de 5,5 %.

Saint-Éloi et Bellejouane

Ces quartiers en transformation profitent de programmes neufs et d’une bonne desserte vers le centre.
Les prix restent contenus, entre 2 100 et 2 400 €/m², avec un fort potentiel de valorisation à long terme.
Idéal pour les primo-accédants ou les investisseurs souhaitant se positionner sur un marché en croissance.

Poitiers Sud et demi-lune

Quartiers familiaux par excellence, on y trouve des pavillons avec jardin, à 2 600 €/m² en moyenne.
Les écoles, les commerces et les parcs en font des zones très recherchées par les ménages.
Le marché y est fluide, et les délais de vente sont parmi les plus courts de la ville.

Futuroscope et zones économiques

La proximité du technopôle du Futuroscope offre une opportunité unique : une clientèle de cadres, d’ingénieurs et de salariés de la tech.
Les programmes neufs y sont nombreux, souvent éligibles à la loi Pinel ou LMNP.
Les rendements dépassent facilement les 6 %, avec une demande soutenue pour les logements meublés.


Des prix qui résistent et un avenir serein

Contrairement à d’autres villes moyennes, Poitiers n’a pas subi de retournement brutal du marché en 2024-2025.
Les prix se sont stabilisés après plusieurs années de hausse, mais sans baisse marquée.
Cette solidité repose sur des fondamentaux sains :

  • un bassin d’emploi diversifié (enseignement, santé, industrie, recherche)
  • une population jeune et croissante
  • un cadre de vie apaisé, entre nature et patrimoine.

L’attractivité de Poitiers est aussi renforcée par la qualité de ses infrastructures :
TGV vers Paris, Nantes ou Bordeaux, réseau routier performant, et un aéroport en développement.
À moyen terme, la modernisation du centre-ville et la revitalisation du quartier de la gare devraient encore valoriser le marché.

Ville Appartement (€/m²) Maison (€/m²) Évolution annuelle Rendement locatif
Poitiers 2 400 2 600 +3,2 % 6,0 %
Châtellerault 1 700 1 950 +2,1 % 6,5 %
Niort 2 300 2 500 +2,8 % 5,7 %
La Rochelle 5 000 5 800 +3,5 % 4,2 %
Angoulême 1 950 2 150 +2,4 % 6,3 %

Une attractivité qui dépasse le cadre régional

Longtemps considérée comme une “belle endormie”, Poitiers se réveille.
Les acteurs du marché immobilier le constatent tous : les acheteurs viennent désormais de plus loin.
On voit arriver des Franciliens, des Bordelais, mais aussi des familles venues d’Angers ou de Tours, attirées par les prix raisonnables et la qualité de vie.
Le TGV, qui place Paris à 1h15, change profondément la donne. Pour de nombreux télétravailleurs, Poitiers représente l’équilibre parfait entre accessibilité et sérénité.

Le profil type du nouvel acheteur a évolué.
Il s’agit souvent de trentenaires actifs, jeunes couples ou familles qui cherchent une maison avec jardin à moins de 300 000 euros, chose devenue presque impossible à Bordeaux ou Nantes.
Les retraités sont également de plus en plus nombreux à choisir Poitiers pour sa taille humaine, ses services médicaux et ses infrastructures culturelles.


Ville Prix moyen appartement (€/m²) Prix moyen maison (€/m²) Évolution annuelle Rendement locatif Tension locative
Poitiers 2 400 2 600 +3,2 % 6,0 % Faible à modérée (4 % de vacance)
Châtellerault 1 700 1 950 +2,1 % 6,5 % Modérée
Niort 2 300 2 500 +2,8 % 5,7 % Modérée
La Rochelle 5 000 5 800 +3,5 % 4,2 % Forte (ville côtière tendue)
Angoulême 1 950 2 150 +2,4 % 6,3 % Faible
Saint-Benoît 2 600 2 900 +3,0 % 5,8 % Faible

Une économie locale solide et diversifiée

L’économie poitevine a longtemps reposé sur le tertiaire, mais elle s’est profondément transformée ces dix dernières années.
Autour du Futuroscope s’est constitué un écosystème technologique et numérique avec des entreprises dans la recherche, l’aéronautique, l’énergie et la formation.
Le site Technopole du Futuroscope compte aujourd’hui plus de 12 000 emplois directs, et sa zone d’influence s’étend désormais jusqu’à Jaunay-Marigny et Chasseneuil.

L’emploi public reste également un pilier : université, CHU, rectorat et collectivités locales assurent une stabilité économique qui se traduit directement sur le marché immobilier.
Poitiers n’est pas une ville où l’on achète pour “faire un coup”, mais pour construire un projet de long terme.


Le renouveau urbain : des projets structurants en immobilier à Poitiers

La municipalité a engagé plusieurs chantiers d’ampleur pour moderniser la ville sans la dénaturer.
Le projet “Poitiers Cœur d’Agglo” a permis de rénover le centre-ville, de piétonniser plusieurs rues commerçantes et de dynamiser les commerces de proximité.
L’aménagement du quartier de la gare prévoit la création de nouveaux logements, d’espaces de coworking et d’une passerelle urbaine reliant le centre à Poitiers Sud.

Dans les quartiers périphériques, les programmes neufs se multiplient, mais de manière mesurée : la ville veille à préserver sa densité maîtrisée.
Le secteur du Futuroscope poursuit, lui aussi, sa mutation : de nouveaux hôtels et résidences de services sortent de terre pour accueillir les salariés et les visiteurs.

Cette transformation urbaine, conjuguée à un positionnement géographique stratégique, permet à Poitiers de rivaliser avec d’autres villes intermédiaires comme Angers, Tours ou La Rochelle.


Le marché locatif : tension modérée, sécurité élevée

Sur le plan locatif, Poitiers présente un profil quasi idéal.
La demande est constante et diversifiée : étudiants, jeunes actifs, familles et seniors.
Le taux de vacance est inférieur à 4 %, ce qui reste exceptionnel pour une ville de cette taille.
Les investisseurs privilégient les biens rénovés ou en centre-ville, mais les quartiers périphériques comme Saint-Éloi ou Beaulieu offrent des opportunités plus rentables.

La rentabilité moyenne brute se situe entre 5,5 et 6,5 %, avec une gestion locative relativement simple.
Les loyers progressent légèrement, notamment sur les petites surfaces : les studios atteignent 13 €/m², tandis que les T2 et T3 se situent autour de 11 à 12 €/m².
La régulation reste naturelle, sans risque de bulle.

Le segment des locations meublées de courte durée (type Airbnb) s’est développé depuis 2020, notamment autour du centre-ville historique et du parc des expositions, mais la municipalité encadre désormais les autorisations de location saisonnière afin d’éviter les dérives observées ailleurs.


Poitiers face aux nouveaux modes de vie

Les transformations sociétales influencent aussi le marché local.
Le télétravail a dopé la demande pour les maisons avec extérieur, souvent situées dans la première couronne.
Des communes comme Buxerolles, Saint-Benoît ou Migné-Auxances voient leur marché s’animer.
On y trouve encore des pavillons de 100 m² avec jardin pour autour de 250 000 euros, un niveau très compétitif comparé à d’autres villes régionales.

Les projets de rénovation énergétique deviennent aussi un levier fort du marché.
De nombreux propriétaires revendent pour éviter les travaux liés au DPE, tandis que des acheteurs avertis en profitent pour négocier et rénover.
Résultat : le parc ancien se modernise, et les logements performants gagnent une prime de 10 à 15 % à la revente.


Les perspectives à horizon 2030

À l’horizon 2030, tous les signaux sont au vert pour Poitiers.
Les projections tablent sur une hausse des prix de 10 à 12 % sur cinq ans, principalement tirée par la demande résidentielle.
Le marché restera fluide, porté par la jeunesse de la population et l’arrivée de nouvelles entreprises autour du Futuroscope.

Le centre historique continuera à se valoriser, tandis que les quartiers de la gare et de Poitiers Sud gagneront en attractivité grâce à la réhabilitation urbaine et à la desserte améliorée.
Les politiques locales visent également à accueillir 10 000 habitants supplémentaires d’ici 2030, en misant sur un urbanisme durable et des logements plus sobres énergétiquement.

Les investisseurs institutionnels, longtemps absents, commencent d’ailleurs à s’y intéresser, preuve de la maturité du marché poitevin.
À terme, Poitiers pourrait devenir un modèle de ville moyenne résiliente, conjuguant dynamisme économique, modération des prix et stabilité locative.


Le verdict : une valeur refuge à taille humaine

En résumé, Poitiers coche toutes les cases d’un marché immobilier équilibré. Des prix accessibles, une demande constante, une rentabilité attractive et une évolution urbaine maîtrisée.

Ce n’est pas une ville spéculative, mais une ville d’avenir.
L’investisseur y trouve une sécurité patrimoniale, le propriétaire-occupant une qualité de vie rare, et le locataire un marché fluide et abordable.
Dans un contexte où beaucoup de villes moyennes se cherchent, Poitiers a trouvé sa voie : celle de la croissance raisonnable et durable.

Conclusion – Immobilier à Poitiers, la ville de l’équilibre immobilier

Poitiers s’impose en 2025 comme une ville à fort potentiel, mais sans excès.
Avec ses prix modérés, sa stabilité économique, son poids universitaire et ses rendements attractifs, elle coche toutes les cases d’un investissement pérenne et raisonné.
Ceux qui achètent aujourd’hui misent sur une valorisation maîtrisée, un risque limité et une qualité de vie durable.

La transformation urbaine, le dynamisme du Futuroscope et la montée du télétravail renforceront encore son attractivité dans les années à venir.
Poitiers n’est plus une “ville moyenne” : c’est une ville d’avenir, où l’immobilier avance sereinement, à l’image de ses habitants.

A lire aussi : Poitiers 2025 : la ville moyenne qui séduit les investisseurs avisés ou Poitiers : un marché immobilier attractif et stable à la rentrée 2025

FAQ – Marché immobilier à Poitiers en 2025

Quel est le prix moyen du m² à Poitiers en 2025 ?
Le prix moyen au mètre carré à Poitiers est d’environ 2 400 € pour un appartement et 2 600 € pour une maison, selon les quartiers et l’état du bien.
Poitiers est-elle une ville intéressante pour investir ?
Oui, Poitiers offre une rentabilité brute moyenne comprise entre 5,5 % et 6,5 %, soutenue par une forte demande locative étudiante et un marché globalement stable.
Quels sont les quartiers les plus recherchés à Poitiers ?
Le centre historique, Montbernage, Poitiers Sud, Saint-Éloi et le secteur du Futuroscope font partie des quartiers les plus recherchés pour l’habitat et l’investissement locatif.
Quel est le niveau des loyers à Poitiers ?
Les loyers moyens se situent autour de 13 €/m², avec des loyers plus élevés pour les studios et T2 bien situés, notamment dans le centre-ville et autour du campus.
Poitiers convient-elle aux primo-accédants ?
Oui, grâce à des prix encore accessibles et des mensualités souvent proches d’un loyer, Poitiers est particulièrement adaptée aux primo-accédants qui souhaitent acheter leur résidence principale.
La demande locative est-elle forte à Poitiers ?
La ville compte près de 29 000 étudiants et un bassin d’emplois diversifié, ce qui garantit une demande locative soutenue et un taux de vacance faible.
Comment le marché immobilier de Poitiers pourrait-il évoluer d’ici 2030 ?
Les projections prévoient une progression modérée des prix, autour de 10 à 12 % d’ici 2030, portée par le développement du Futuroscope, le télétravail et l’arrivée de nouveaux habitants.