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Immobilier à Le Plessis-Robinson (92350)

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Immobilier à Le Plessis Robinson (92350) les tendances immobilières 2025

Au Plessis-Robinson (92350), le marché immobilier 2025 s’appuie sur un positionnement très recherché de « ville-jardin » aux portes de Paris. Entre le Cœur de Ville entièrement recomposé, les quartiers pavillonnaires, la cité-jardin historique et les abords des grands axes, l’offre alterne immeubles récents, résidences arborées et maisons familiales.

La commune bénéficie d’un environnement très porteur : proximité de Paris et de la porte d’Orléans, accès à la coulée verte et aux pôles d’emplois du sud parisien, arrivée du tram T10 et connexions vers le RER B et le futur Grand Paris Express via les communes voisines. Après une forte hausse jusqu’en 2022, la remontée des taux a rendu les acheteurs plus sélectifs, mais les biens bien situés, avec extérieur, parking et bon DPE restent très convoités.

Les prix au m² au Plessis-Robinson : les chiffres actualisés

En 2025, le prix moyen au mètre carré au Plessis-Robinson tourne autour de 5 800 à 6 500 € / m² tous biens confondus, avec des écarts sensibles entre le Cœur de Ville récent, la cité-jardin, les résidences des années 70–90 et les secteurs pavillonnaires. Les appartements se négocient le plus souvent entre 5 700 et 6 400 € / m², tandis que les maisons familiales peuvent dépasser 6 200–7 200 € / m² dans les rues les plus recherchées.

Zone Type de bien Prix moyen au m² (approx.)
Cœur de Ville / écoquartier Appartements récents, résidences de standing ≈ 6 100–6 600 € / m²
Cité-jardin et secteurs résidentiels centraux Immeubles anciens entretenus, petits collectifs ≈ 5 700–6 200 € / m²
Quartiers pavillonnaires / maisons de ville Maisons individuelles, petits ensembles ≈ 6 300–7 200 € / m²
Secteurs en limite de Clamart / Châtenay-Malabry Résidences années 70–90, habitat mixte ≈ 5 400–5 900 € / m²
Moyenne Le Plessis-Robinson Tous types de biens ≈ 5 800–6 500 € / m²

Pour les acquéreurs, Le Plessis-Robinson apparaît comme une alternative aux prix des communes les plus chères des Hauts-de-Seine, tout en proposant un cadre verdoyant et familial très valorisé. Les biens proches des transports, des écoles et du centre, avec balcon, terrasse ou jardin et de bonnes performances énergétiques, se vendent plus vite et plus cher que les logements à travaux ou mal situés.

Immobilier au Plessis-Robinson : l’évolution des prix au m²

Une progression marquée sur plusieurs années, suivie d’une phase de stabilisation avec un marché plus sélectif, surtout sur les biens énergivores.

Prix moyen 2025
≈ 6 100 € / m²
Tous biens confondus au Plessis-Robinson
Appartements 2025
≈ 6 000 € / m²
Résidences principales et secondaires
Maisons 2025
≈ 6 800 € / m²
Maisons familiales, pavillons, jardins

Entre 2018 et 2022, Le Plessis-Robinson a connu une hausse soutenue des prix, portée par la requalification du centre, l’attractivité des espaces verts et la proximité des pôles d’emplois du sud parisien. Depuis 2023, la hausse des taux a rendu le marché plus exigeant : les biens correctement positionnés en prix, avec un bon DPE et peu de travaux, continuent à trouver preneur, tandis que les logements surcotés ou très énergivores doivent ajuster leur valorisation. En 2025, le marché reste fluide sur les produits familiaux de qualité, dans un environnement où la rareté foncière et le cadre de vie jouent fortement en faveur de la commune.

Prix moyen maisons 2025
≈ 6 800 € / m²
Maisons et pavillons au Plessis-Robinson
Secteurs les plus prisés
Cœur de Ville, cité-jardin, secteurs pavillonnaires calmes
Jardin, stationnement, proximité écoles et parcs
Tendance 2019 → 2025
+ ~12–18 %
Hausse cumulée, puis stabilisation récente

Au Plessis-Robinson, le segment des maisons et pavillons s’adresse à une clientèle majoritairement familiale, souvent déjà installée dans le sud parisien. Les biens offrant jardin, stationnement, bonne luminosité et environnement calme se négocient nettement au-dessus de la moyenne. À l’inverse, les maisons plus datées, mal isolées ou situées près des grands axes nécessitent une décote ou un budget travaux important pour convaincre.

Acheter au Plessis-Robinson : ce qu’il faut savoir en 2025

Acheter au Plessis-Robinson, c’est miser sur une commune verte et familiale des Hauts-de-Seine, à des prix élevés à l’échelle nationale mais plus contenus que certains secteurs très premium du département. La demande émane à la fois de ménages locaux, de cadres travaillant à Paris, à La Défense ou sur le plateau de Saclay, et d’investisseurs à la recherche d’un actif patrimonial.

Le Cœur de Ville et ses résidences récentes attirent ceux qui privilégient le confort contemporain, les commerces et les services à pied. La cité-jardin et les quartiers historiques offrent un charme plus ancien, avec des petites copropriétés et des immeubles de caractère. Les secteurs pavillonnaires concentrent maisons de ville, pavillons rénovés ou à moderniser, sur des budgets souvent supérieurs.

Maisons et pavillons : un marché très familial

Sur les maisons, la sélection se joue sur l’emplacement précis, la proximité des écoles, la qualité du jardin et la performance énergétique. Les biens au bon prix, avec un plan cohérent et un extérieur exploitable, restent très recherchés malgré le contexte de taux plus élevés.

Voir les maisons et pavillons à vendre au Plessis-Robinson

Acheter un appartement au Plessis-Robinson : arbitrer entre confort, budget et transports

Pour les appartements, le choix se fait entre résidences neuves ou récentes bien situées, copropriétés plus anciennes à rafraîchir et immeubles avec vue dégagée sur les espaces verts. Les copropriétés récentes rassurent sur le volet travaux, quand les immeubles plus anciens peuvent offrir un ticket d’entrée un peu plus abordable au prix d’une rénovation à prévoir.

Voir les appartements à vendre au Plessis-Robinson

Location au Plessis-Robinson : un marché résidentiel actif

Le marché locatif au Plessis-Robinson est essentiellement résidentiel et familial, avec une demande soutenue de la part des actifs travaillant à Paris ou dans les pôles d’emplois voisins, ainsi que des ménages déjà installés dans le sud des Hauts-de-Seine. Les petites surfaces proches des transports et les T3/T4 en bon état sont les plus recherchés.

En 2025, les loyers se situent en moyenne autour de 21 à 24 € / m² pour les appartements, avec des niveaux plus élevés pour les petites surfaces bien placées et rénovées. Les maisons se louent le plus souvent entre 2 000 et 2 800 € / mois selon la surface, la localisation et les prestations (jardin, stationnement, nombre de chambres).

Type de bien Zone Loyer moyen estimé Rendement brut estimé
Studio / T1 Cœur de Ville, secteurs proches transports ≈ 750 à 950 € / mois ≈ 3,2 % à 4,2 %
T2 Résidences récentes ou rénovées ≈ 950 à 1 150 € / mois ≈ 3,1 % à 4,0 %
T3 / T4 Quartiers familiaux, proximité écoles ≈ 1 200 à 1 800 € / mois ≈ 2,8 % à 3,6 %

Les rendements bruts sont modérés, mais cohérents avec un marché très patrimonial des Hauts-de-Seine. Les biens irréprochables sur la localisation, l’état général et le positionnement de loyer limitent la vacance. À l’inverse, les logements mal classés énergétiquement ou sans atout particulier (extérieur, parking) doivent ajuster leur loyer pour rester compétitifs.

Location familiale : des critères précis

Les familles recherchent en priorité un logement sain, des charges maîtrisées, une bonne desserte en transports et la proximité des écoles et des parcs. Les T3/T4 bien distribués, avec balcon, terrasse ou jardin et une place de stationnement, restent très demandés.

Voir les maisons et grands logements à louer au Plessis-Robinson

Louer un appartement au Plessis-Robinson : viser emplacement et qualité

Pour les locataires, Le Plessis-Robinson permet d’accéder à un cadre de vie très végétalisé à proximité de Paris. Les studios et T2 en bon état, proches des arrêts de tram ou des bus vers le RER, partent vite lorsqu’ils sont en phase avec les loyers de marché.

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Marché locatif au Plessis-Robinson : loyers moyens en 2025

Un marché résidentiel dynamique, porté par la demande des ménages franciliens à la recherche d’un cadre vert et bien desservi.

Loyer moyen global
≈ 21–24 € / m²
Appartements, tous quartiers confondus
Studio / T1
≈ 750–950 € / mois
Cœur de Ville et secteurs bien desservis
Maison familiale
≈ 2 000–2 800 € / mois
Selon surface, quartier et prestations

En 2025, Le Plessis-Robinson confirme son statut de marché locatif tendu mais raisonné : les biens qui cumulent bonne localisation, prestations correctes et loyer réaliste se louent rapidement. Les propriétaires qui anticipent les enjeux de rénovation énergétique et soignent la présentation du logement se donnent un avantage net sur la concurrence.

Immobilier neuf au Plessis-Robinson : une offre récente et très convoitée

L’offre de logements neufs au Plessis-Robinson a été dynamisée par la recomposition du Cœur de Ville et par plusieurs programmes récents, souvent bien intégrés dans le paysage urbain et paysager. Ces résidences récentes intéressent autant les résidents à l’année que les investisseurs qui recherchent un bien aux normes, avec un DPE performant.

Les prix du neuf se situent généralement au-dessus de l’ancien, avec des niveaux qui peuvent atteindre voire dépasser 6 500 € / m² sur les meilleurs emplacements. Cette prime s’explique par la qualité de construction, les performances énergétiques et la moindre nécessité de travaux à court terme.

Voir les programmes neufs au Plessis-Robinson

Les quartiers les plus recherchés au Plessis-Robinson

Le marché du Plessis-Robinson s’organise autour de plusieurs pôles. Le Cœur de Ville concentre les résidences récentes, les commerces et les services, avec des prix élevés mais une forte attractivité. La cité-jardin propose un cadre unique, avec une architecture caractéristique et une ambiance de quartier très recherchée. Les secteurs pavillonnaires accueillent des maisons de ville et des pavillons familiaux avec jardins. Enfin, les zones en limite de Clamart ou Châtenay-Malabry offrent un compromis entre accessibilité, prix et cadre de vie.

Prix moyens par quartier au Plessis-Robinson

Panorama indicatif des prix à l’achat et des loyers moyens par type de bien, quartier par quartier.

Quartier
Secteurs & infos
Achat appart.
€/m²
Achat maison
€/m²
Loyer appart.
€/m²
Loyer maison
€/mois
Commentaire marché
Analyse rapide
Cœur de Ville
Résidences récentes, commerces, services
≈ 6 200 ≈ 6 800 ≈ 22–24 ≈ 2 200–2 800 Secteur très demandé, forte tension sur les biens récents bien placés, marché liquide si le prix est cohérent.
Cité-jardin et abords
Architecture typique, cadre verdoyant
≈ 5 900 ≈ 6 900 ≈ 21–23 ≈ 2 100–2 700 Quartier recherché pour son charme et son cadre de vie, offre limitée, bonnes perspectives à moyen terme.
Secteurs pavillonnaires
Maisons familiales, rues calmes
≈ 5 700 ≈ 7 000 ≈ 21–23 ≈ 2 200–2 800 Marché très familial, peu de rotation, forte demande pour les maisons avec jardin et stationnement.
Limite Clamart / Châtenay-Malabry
Résidences années 70–90, habitat mixte
≈ 5 400 ≈ 6 300 ≈ 20–22 ≈ 2 000–2 500 Légèrement plus accessible, intéressant pour un premier achat ou un investissement à budget maîtrisé.
Moyenne Le Plessis-Robinson
Ensemble de la commune
≈ 6 000 ≈ 6 800 ≈ 21–24 ≈ 2 000–2 800 Commune verte et attractive des Hauts-de-Seine, marché patrimonial avec une forte prime au cadre de vie.

Prix immobiliers autour du Plessis-Robinson : comparatif des secteurs voisins en 2025

Autour du Plessis-Robinson, les marchés de Clamart, Châtenay-Malabry, Sceaux ou Antony offrent des niveaux de prix variés, avec parfois des budgets supérieurs sur les secteurs les plus réputés ou à proximité immédiate du RER. Le Plessis-Robinson se situe dans la moyenne haute du sud des Hauts-de-Seine, avec un positionnement fortement lié à son image de ville-jardin.

Quelques repères pour situer Le Plessis-Robinson dans son environnement immobilier :

Ville / secteur Prix moyen au m² (€) Évolution / Remarque
Le Plessis-Robinson ≈ 5 800–6 500 € Commune verte et familiale, forte attractivité résidentielle
Clamart ≈ 6 000–6 800 € Marché très recherché, notamment côté gare et Jardin Parisien
Châtenay-Malabry ≈ 5 500–6 300 € Cadre verdoyant, influence du campus et du tram
Sceaux Souvent > 7 000 € Ville patrimoniale, proximité RER B, prix plus élevés
Antony ≈ 6 000–6 800 € Marché dynamique, très bien desservi, forte demande familiale

Les projets urbains qui influencent les prix au Plessis-Robinson

Au Plessis-Robinson, les projets d’aménagement portent sur la poursuite de la requalification des espaces publics, la valorisation des parcs, l’amélioration des mobilités douces et l’intégration des nouveaux axes de transport (comme le tram T10). La proximité des grands projets franciliens (Grand Paris, pôles d’emplois du sud parisien) contribue aussi à l’image et à l’attractivité de la commune.

Pour les acquéreurs comme pour les investisseurs, suivre ces évolutions (programmation de nouveaux équipements, réaménagements de secteurs, programmes neufs) permet de repérer les micro-secteurs qui devraient mieux résister en cas de phase de marché plus calme.

Construire une maison au Plessis-Robinson et dans les communes voisines

Construire une maison au Plessis-Robinson reste possible mais la rareté foncière est forte, en particulier dans les secteurs les plus recherchés. Les terrains disponibles sont rares et souvent issus de divisions de parcelles, avec des budgets conséquents.

De nombreux porteurs de projets élargissent donc leur recherche aux communes voisines un peu plus éloignées de Paris, tout en conservant un accès raisonnable aux pôles d’emplois et aux transports en commun.

Comparer les prix des terrains, les règlements d’urbanisme locaux (PLU, hauteurs, emprise au sol) et les contraintes d’accès ou de stationnement est indispensable pour cadrer un projet de construction dans le secteur.

Voir les terrains à vendre autour du Plessis-Robinson

Voir les maisons neuves dans le sud des Hauts-de-Seine

Investir au Plessis-Robinson : un marché surtout patrimonial

Investir au Plessis-Robinson, c’est se positionner sur un marché des Hauts-de-Seine à forte dimension patrimoniale. Les rendements bruts ne sont pas les plus élevés d’Île-de-France, mais la profondeur de marché, le niveau de demande et le cadre de vie offrent un socle solide à moyen-long terme.

Les studios et T2 bien situés, en bon état et correctement positionnés en loyer, peuvent afficher des rendements bruts autour de 3,2 à 4,2 %. Les grands appartements et maisons relèvent davantage d’une logique de valorisation patrimoniale et de qualité de vie. L’enjeu principal reste de ne pas surpayer à l’achat, d’intégrer le DPE, les charges de copropriété et les travaux à venir, et de viser des emplacements liquides même en phase de marché plus calme.

Conclusion : Le Plessis-Robinson, une ville-jardin attractive et exigeante

En 2025, Le Plessis-Robinson confirme son statut de ville-jardin attractive du sud des Hauts-de-Seine, à la croisée des marchés de Clamart, Châtenay-Malabry, Sceaux et Antony. Les prix au m² y sont élevés à l’échelle nationale, mais restent cohérents avec la qualité du cadre de vie, la proximité de Paris et les transports en développement.

Pour réussir son projet, il est indispensable de bien choisir son quartier, d’intégrer le coût des travaux (notamment énergétiques) et de raisonner en coût global (prix d’achat, charges, fiscalité, transports). Bien préparé, un achat, une location ou un investissement au Plessis-Robinson peut constituer une pièce solide dans un patrimoine immobilier francilien.